A mon ange
Un jour que j'étais endormie
Je me suis alors réveillée sans souci
Quelque chose en moi venait de se passer
J'ai su tout de suite que tu étais là, à mes cotés.
Cette sensation étrange et réelle à la fois
M'a fait peur et m'a comblée de joie.
Toi, mon Ange, si étrange et si fidèle
Comment leur dire que tu n'es pas qu'éphémère ?
Tu as toujours été présent à mes cotés
Et toujours tu resteras à m'écouter !
Même mes plaintes, mêmes mes délires,
Tu ne jugeras
Même mes pensées, mêmes mes désirs,
Tu ne gronderas !
Mais quelle chance de t'avoir à mes cotés
Quand tout devient sombre et sans gaîté !
Mon Ange, permets-moi de te dire
M E R C I
Car je t'aime à l'Infini.
Christine Perruchon